NOTE DE PRODUCTION
The
Walking Veg a été réalisé par Lucie MADEC, sur une idée originale de Benjamin ANNAIX et Lenaïg JOUIN.
Il s’agit d’un projet auquel je tiens beaucoup. The Walking Veg est le projet en lequel je n’ai jamais douté. Il m’est apparu évident de le choisir lors de la séance des présentations de projets en atelier animation. Tout d’abord pour le dynamisme et l’humour provenant de la présentation de Benjamin ANNAIX et Lenaïg JOUIN. C’est un film drôle, rempli de possibilités et de liberté. Malgré que le projet ne soit pas autant avancé que les autres projets de film du groupe, cela ne m'est pas paru insurmontable.
Le titre de ce court métrage d’animation fait écho, pour la plupart d’entre nous, à la célèbre série d’AMC The Walking Dead de Frank Darabont et Robert Kirkman, cependant, nous pouvons dire que The Walking Veg prend le contre-pied de cette série. Il ne s’agit pas d’un film d’horreur gore et angoissant mais d’un projet original, qui fait preuve de beaucoup d’humour, notamment dans les petits « sketchs » qui se font écho les uns aux autres tout au long du film.
Les scénaristes ont réussi à prendre en compte les possibilités que le cinéma d’animation pouvaient nous offrir, comme par exemple par rapport au comportement des zombies à la fin du film, lorsqu’ils s’attaquent aux vaches. Des plans qui auraient été plus difficiles à tourner en prises de vue réelles. Grâce à l’animation, nous avons réussi à développer l’univers des zombies, sans avoir de contraintes de mouvement. C’est dans cette perspective que les animateurs ont travaillé, avec un pouvoir total sur tout ce qui peut se passer à l’image, sur les personnages, sur le décor, etc...
Je trouve que la réalisatrice a très bien su diriger ses animateurs pour aller au bout des choses, pour qu’ils puissent produire l’effet voulu. Transmettre l’idée du mouvement est très difficile, avoir réussi cette partie là du travail, est un des éléments qui a permis le bon déroulement du tournage ainsi que la réussite du film. En plus de cela, la bonne cohésion de groupe et l’écoute des uns et des autres, ont été très importantes pour finaliser un projet audacieux comme celui-ci.
C’est un film qui peut toucher toutes les tranches d’âge. Ici, les adultes accrocheront pour son sujet et son humour et les enfants, pour l’animation et la découverte d’une autre technique que la 3D ou l’image de synthèse. Nous avons voulu concevoir un projet qui puisse parler à toute la famille, sans exclure personne.
Je trouve que c’est un projet à mettre en avant tout d’abord car les films d’animation sont souvent mis en retrait dans le monde du cinéma en général, mais surtout parce que l’animation est de moins en moins connue avec le multiplan. C’est à travers des projets comme The Walking Veg que le public pourrait découvrir ou redécouvrir une technique trop souvent oubliée.
Walking Veg a été réalisé par Lucie MADEC, sur une idée originale de Benjamin ANNAIX et Lenaïg JOUIN.
Il s’agit d’un projet auquel je tiens beaucoup. The Walking Veg est le projet en lequel je n’ai jamais douté. Il m’est apparu évident de le choisir lors de la séance des présentations de projets en atelier animation. Tout d’abord pour le dynamisme et l’humour provenant de la présentation de Benjamin ANNAIX et Lenaïg JOUIN. C’est un film drôle, rempli de possibilités et de liberté. Malgré que le projet ne soit pas autant avancé que les autres projets de film du groupe, cela ne m'est pas paru insurmontable.
Le titre de ce court métrage d’animation fait écho, pour la plupart d’entre nous, à la célèbre série d’AMC The Walking Dead de Frank Darabont et Robert Kirkman, cependant, nous pouvons dire que The Walking Veg prend le contre-pied de cette série. Il ne s’agit pas d’un film d’horreur gore et angoissant mais d’un projet original, qui fait preuve de beaucoup d’humour, notamment dans les petits « sketchs » qui se font écho les uns aux autres tout au long du film.
Les scénaristes ont réussi à prendre en compte les possibilités que le cinéma d’animation pouvaient nous offrir, comme par exemple par rapport au comportement des zombies à la fin du film, lorsqu’ils s’attaquent aux vaches. Des plans qui auraient été plus difficiles à tourner en prises de vue réelles. Grâce à l’animation, nous avons réussi à développer l’univers des zombies, sans avoir de contraintes de mouvement. C’est dans cette perspective que les animateurs ont travaillé, avec un pouvoir total sur tout ce qui peut se passer à l’image, sur les personnages, sur le décor, etc...
Je trouve que la réalisatrice a très bien su diriger ses animateurs pour aller au bout des choses, pour qu’ils puissent produire l’effet voulu. Transmettre l’idée du mouvement est très difficile, avoir réussi cette partie là du travail, est un des éléments qui a permis le bon déroulement du tournage ainsi que la réussite du film. En plus de cela, la bonne cohésion de groupe et l’écoute des uns et des autres, ont été très importantes pour finaliser un projet audacieux comme celui-ci.
C’est un film qui peut toucher toutes les tranches d’âge. Ici, les adultes accrocheront pour son sujet et son humour et les enfants, pour l’animation et la découverte d’une autre technique que la 3D ou l’image de synthèse. Nous avons voulu concevoir un projet qui puisse parler à toute la famille, sans exclure personne.
Je trouve que c’est un projet à mettre en avant tout d’abord car les films d’animation sont souvent mis en retrait dans le monde du cinéma en général, mais surtout parce que l’animation est de moins en moins connue avec le multiplan. C’est à travers des projets comme The Walking Veg que le public pourrait découvrir ou redécouvrir une technique trop souvent oubliée.